La Big Pilot fait partie de ces montres qui méritaient définitivement d’être qualifiées de montres cultes. Caractérisé par sa taille et son design, il jouit d’une popularité sans faille depuis des années. Pas étonnant que la moindre interférence dans une telle icône suscite des émotions considérables et en même temps l’anxiété qu’elle ne perde pas son caractère. Replique IWC
Je n’envie pas les designers contemporains qui sont confrontés au défi de rafraîchir ou d’introduire de petits changements dans les légendes des produits. Ils doivent faire face non seulement aux masses de fans orthodoxes, pour qui chaque nouvel élément peut être une raison de se plaindre, mais surtout à l’objet de l’icône en tant que telle. Comment modifier quelque chose pour obtenir l’effet de fraîcheur tout en conservant tous les éléments qui le rendent unique ? La plupart sont assez conservateurs à ce sujet, décidant de refaire un peu.
Dans le cas des montres, il s’agit tantôt de la couleur du cadran, tantôt du type de couronne, tantôt de la taille du boîtier. Pas grand-chose, mais le problème commence lorsque ce changement en apparence innocent peut affecter l’ADN du produit et changer sa perception. J’avoue que lorsque j’ai entendu pour la première fois que l’IWC allait réduire le Big Pilot, j’y ai immédiatement pensé. Est-ce que soustraire 3 mm de l’enveloppe est encore vraiment Big Pilot ?
Große Fliegeruhr, ou grande montre d’aviateur
Avant d’examiner de plus près le nouveau Big Pilot, plus petit, il convient de mentionner brièvement l’histoire des montres pour aviateurs. Comme c’est généralement le cas, leur développement résultait du besoin du moment. À la fin des années 30 et pendant la Seconde Guerre mondiale, l’armée commandait aux pilotes des minuteries qui combinaient trois caractéristiques : la résistance aux champs magnétiques, un cadran noir et blanc simple et lisible et une grande couronne. C’est alors, à la demande de la Luftwaffe allemande, qu’IWC crée, entre autres modèle sous le nom de Große Fliegeruhr. La montre mesurait 55 mm et – bien qu’elle différait considérablement en taille – c’était le prototype de la collection connue aujourd’hui sous le nom de Big Pilot’s. Si vous souhaitez en savoir plus sur les coulisses de sa création, nous vous encourageons à lire l’article de la série #KultoweZegarki : Replique IWC Pilot’s.
Le modèle 46 mm Big Pilot’s (BP), proposé jusqu’à présent par l’IWC, a gagné la sympathie d’un grand nombre de collectionneurs, de célébrités et de simples mortels au fil des ans.
Surtout ceux avec des poignets un peu plus massifs qui aiment les grosses montres. A première vue, ce modèle assez simple au niveau du design ne se démarque par rien de particulier. De nombreuses autres marques aux collections inspirées de l’aviation fabriquent des articles dans une atmosphère similaire et à des prix plus abordables.
Alors, qu’est-ce qui attire chez Replique IWC BP ? À mon avis, définitivement son apparence après tout. La montre est si distinctive que vous pouvez voir de loin ce qu’il y a sur votre poignet. Un peu comme la fameuse « loupe » des Rolex, la forme de la Royal Oak, ou encore la Reverso ou la dentelle Pamach.
Et en combinaison avec une grande taille, il peut être considéré comme un soi-disant spécifique montre de déclaration. Alors à quoi bon le réduire ? Pour faire face à cette question, il vaut la peine de regarder un peu plus loin la collection de pilotes de Schaffhouse.
La famille des « pilotes » de Schaffhouse
Commençons par le fait que la collection de pilotes IWC est actuellement assez vaste. Il est créé, entre autres, par Modèles Pilot’s Watch Chronograph, la montre d’aviateur « Mark » légèrement plus petite et moins complexe (actuellement numérotée XVIII) et – surtout – Big Pilot’s.
Il y a aussi une division en lignes, entre autres Spitfire, Top Gun ou Le Petit Prince.
Et bien que chacune de ces familles ait certaines caractéristiques, par exemple dans Top Gun, la société IWC utilise de la céramique, et des cadrans bleus sont utilisés pour distinguer les modèles dédiés au Petit Prince, l’amateur moyen de montres lorsqu’on l’interroge sur Replique IWC et les modèles pour pilotes. indiquera un seul – Big Pilot’s.
Malheureusement, pour beaucoup d’entre eux, c’était un rêve devenu réalité, non seulement à cause du prix, mais aussi à cause de la taille. Cependant, 46 mm est un « morceau » d’une montre, qui en moyenne des poignets peut ressembler un peu à une casserole écaillée, donc plutôt pas très favorable.
Le lancement de la taille 43 mm lui permettra certainement de toucher une nouvelle clientèle et d’augmenter significativement le nombre de propriétaires de cette icône horlogère. De plus, il comblera l’écart entre le relativement petit 41 mm Mark XVIII et le 46 mm Big Pilot pleine grandeur.
Bouclier – il y a de la force dans la simplicité
Le cadran 43 du Big Pilot est l’essence de la simplicité. Mais il y a de la force dans cette simplicité. Jusqu’à présent,
je n’ai pas vu de montre dans laquelle l’heure pourrait être lue aussi rapidement.
Cela prend littéralement une fraction de seconde et nous connaissons déjà l’heure actuelle. Cela est dû au bouclier presque ascétique, mais extrêmement bien pensé et à l’attention portée aux moindres détails. Le cadran noir mat (il existe également une option bleu soleillé) est entouré d’une échelle des minutes blanche et de onze index des heures imprimés luma et des chiffres arabes qui l’accompagnent.
À 12 heures, il y a une caractéristique des modèles pilotes – un triangle inversé avec deux points. De plus, le nom de la société a frappé le cadran, l’inscription « automatique » et… c’est tout. L’indicateur de réserve de marche et l’affichage de la date, connus de la version 46 mm de la BP,
ont été abandonnés, ce qui rend le design « plus propre ». Personnellement, la fenêtre de date au bas du cadran ne me dérangerait pas, et je pense qu’il s’agit simplement de la sortie par IWC d’une telle version Big Pilot de 43 mm.
Il y a trois pointeurs montés au centre pour lire l’heure. Deux d’entre elles,
l’heure et la minute, ont la forme d’une épée (dite forme d’épée) et sont abondamment remplies de substance lumineuse. De plus, les bords des aiguilles sont polis,
reflétant la lumière et améliorant la lisibilité du dessin (voir aide pour lire le temps plus rapidement). La troisième de l’ensemble est la trotteuse, grâce à laquelle nous pouvons être sûrs que la montre fonctionne toujours.
Enveloppe
Il est vrai que BP a « rétréci », mais l’enveloppe n’a pas perdu sa forme reconnaissable. Il est en acier et presque entièrement brossé. En même temps, ce type de décoration est bien visible ici et confère à l’ensemble un climat très rude. L’exception est la lunette étroite et les bords des oreilles, qui ont été polis pour une brillance élevée. La grande couronne caractéristique en forme de diamant est également polie,
ce qui, dans le passé, permettait aux pilotes de modifier plus facilement les réglages pendant le vol,
lorsqu’ils portaient des gants en cuir en raison des basses températures dans le cockpit. L’élément était estampillé du sceau « Replique IWC – Probus Scafusia ».
Pour ceux qui pensent que 43 mm c’est une petite taille, je tiens à vous informer que le cosse à cosse,
c’est à dire la distance de l’extrémité d’une oreille à l’extrémité de l’autre,
dépasse 52 mm et l’épaisseur est d’environ 13,6 millimètres. Si vous vouliez mesurer la largeur de l’enveloppe,
elle fait 43 mm de large, mais si vous y ajoutez un lacet, vous obtenez plus ou moins 48 mm. C’est quand même quelques millimètres plus petit que le 46 mm Big Pilot réf. IW501015 (46,2 mm x 15,6 mm x 57 mm) mais toujours beaucoup.
Cuir, caoutchouc ou acier ?
La montre pour la revue est arrivée sur un bracelet en cuir marron avec des rivets métalliques caractéristiques et des coutures légères. La sangle à côté de l’enveloppe est plus large,
puis se rétrécit et se connecte à la boucle connectée avec un loquet. Grâce à cette procédure, après avoir tourné la main, la boucle et la ceinture ne submergent pas. Je me risquerais même à dire qu’en voyant cette pièce,
nous n’aurions jamais deviné à quel point un morceau d’acier massif est caché de l’autre côté.
La sangle est dotée d’un système facile à remplacer. Dans le cas de l’IWC, il s’agit d’appuyer sur un bouton à l’intérieur. Grâce à cela, nous pouvons facilement remplacer le cuir par un bracelet en caoutchouc ou en acier. Personnellement, je n’ai fait aucune modification, car la rayure marron me convenait le mieux.
Mécanisme – dans un climat technique
La montre est animée par le calibre de manufacture 82100 avec une réserve de marche de 60 heures. Le mouvement 4Hz est visible à travers le fond du boîtier en verre et je dois admettre que c’est tout un spectacle à voir. Werk est complètement différent de celui connu des montres Patek Philippe,
Vacheron Constantin ou Jaeger-LeCoultre. Bien fait, mais cru. Cette austérité, que l’on retrouve aussi dans certains modèles Panerai, me convient très bien. Tout comme le volant, des rotors Replique IWC partiellement squelettés avec un joint « Probus Scafusia » incrusté dedans. Les parties noires attirent également le regard. Ce sont des éléments potentiellement exposés à une usure plus rapide,
c’est pourquoi IWC a décidé de les fabriquer en céramique.
En raison du fait que le fond du boîtier est vitré,
un insert ferromagnétique supplémentaire au boîtier a été abandonné,
qui protégeait le mécanisme contre les champs magnétiques.
Petit, mais toujours grand – impressions
Avec le boîtier du 46 mm Replique IWC Big Pilot, cela n’a jamais été une option pour moi. Sur un petit poignet,
malgré le fait que je l’ai toujours eu sur ma liste de surveillance, cela avait l’air assez défavorable. La variante 43 mm est différente. Il s’agit toujours d’un modèle de grande taille, mais il est certainement déjà portable. Je risquerai même de dire que pour certains je la verrais comme une montre de tous les jours.
Je me suis retrouvé à dire que dès que j’ai renvoyé le 43 mm BP et que je suis revenu à l’une de mes plus petites montres, l’effet « wow » qu’il produisait me manquait. D’une part, une lecture rapide de l’heure et une forme ascétique, et d’autre part, après tout, la taille, le poids, la reconnaissance et l’éveil de la curiosité spécifiques, même chez les personnes qui ne s’aperçoivent pas tous les jours que j’ai quelque chose sur mon poignet .
Bon, maintenant la question la plus importante est, si je devais dépenser mon argent, est-ce que je choisirais cette montre ? Jusqu’à présent,
cependant, je pensais que le Mark XVIII serait ajouté à ma collection le plus rapidement. Il m’a semblé que bien que plus pauvre mécaniquement,
il était mieux adapté à mon poignet. Après avoir testé le 43 mm, je sais que le choix ne sera pas si évident. Mais Big Pilot est Big Pilot. Une icône, une légende et juste beaucoup de plaisir à porter tous les jours. Quoi qu’il en soit, quand je pense aux montres d’aviateur, je pense toujours à quelque chose de l’IWC. L’usine de Schaffhouse s’est solidement établie dans le monde des modèles pour les fans d’aviation et propose une multitude d’options différentes. Il y a beaucoup de choix.
Enfin, le prix – l’achat du 43 mm de l’IWC Big Pilot revu coûte 41 860 PLN.